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Le Truc Du Jour / Booyakasha's Diary

2 mai 2006

Révisions Intensives de Noir Déz'

Tout y passe en ce moment.

Des albums que j'avais jusqu'ici simplement en K7 dans ma voiture et changement de voiture oblige, que je me vois obligé de me procurer en CDs, jusqu'aux CDs que j'avais depuis un moment mais qui prenaient la poussières dans mes tiroirs, en passant même par un DVD qui vient de sortir y'a quelques mois, je me fais une intensive Noir Déz ces temps ci.

Du bruit, des poètes rock, des instruments dans tous les sens, du sens dans tous les mots, et des mots dans tous les sens. Plus j'écoute et plus ça parle. Je vais pas révolutionner les avis sur Noir Désir mais moi je rattrape mon retard en écoutant attentivement des choses que j'avais simplement entendues dans mes enceintes. Domage qu'il ne soit pas réaliste d'attendre leur nouvelle livraison prochainement...

Pendant que je vous parle, l'album de Remixes "One Trip One Noise", et dire qu'avant y'a 15 jours y'a certaines chansons que j'avais simplement entendues dans leur version remixée et pas originale, encore une fois rien de très grave en soi mais pour le coup, ça fait vraiment 2 chansons très différentes à se mettre sous la dent.

J'y retourne.

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16 février 2006

Ils se sont donné le mot c’est pas vrai.

Ceci dit c’est de bonne guerre mais ça faisait beaucoup tout ça en une heure en fin de journée.

Je m’explique.

Entre 17 :30 et 18 :30 hier soir ce sont tour à tour la responsable Ressources Humaines et mon proprio qui m’ont pris pour un imbécile. La négociation n’est pas mon fort, je marche carrément plutôt à l’affectif, ils prêchent évidemment pour leur paroisse mais faut pas déconner quand même.

Episode 1, au moment de discuter transaction de licenciement (et oui je suis en plein dedans, c’est pas marrant marrant mais faut le faire) la proposition qu’on me fait me parait du niveau des plus nulles blagues de Popeck. Je me retiens de rire sans trop de difficulté (j’ai pas trouvé ça très drôle du tout pour être franc) mais je me demande alors comment faire pour demander quelque chose qui soit bien plus élevé que cela pour pouvoir servir de levier de négociation mais qui ne soit pas qualifié de déraisonnable. Je réponds alors par une demande modérée et pas trop gourmande sur les conseils de Max et là évidemment les grands mots : Prud’hommes, pas raisonnable, je prends même pas en compte cette proposition,..... alors j’attends des nouvelles pour aujourd’hui mais bon vu la tournure que cela prend, ça risque d’être un petit peu décevant.

Episode 2, je rentre chez moi et j’appelle mon proprio qui a bien pris soin de ne pas retourner mon appel puis de prétendre ne pas avoir bien entendu ce qu’il y avait dans mon message. Je marche trop à l’affectif je vous dit.

J’explique ma situation (licenciement donc préavis appartement réduit de 3 à 1 mois) et là qu’est ce qu’il trouve à me répondre ? « Et bien comment dire ça et rester politiquement correct ? Je vais pas vraiment profiter du temps où tu ne seras pas là pour faire des travaux en plus , mais pour faire lessiver les murs car la personne qui a visité et qui veux reprendre l’appart début Avril a trouvé que les murs sont gras. » « Donc tu veux dire par là que si les murs sont gras c’est à cause de moi (on parle quand même d’un appart en une seule grande pièce (cuisine, salon, chambre en mezzanine, sans séparation du tout) ? Je trouve que c’est vraiment déplacé comme remarque (quelle erreur j’ai faite en lui donnant les clés pour qu’il profite de faire visiter pendant mes vacances). ».

Bref, quelques « mais tu sais c’est même pas pour les 250 ou 500 Euros, moi je m’en fous, je te les rends », « écoutes, t’es un collègue de ...., alors... (plus pour longtemps soit dit en passant !) », « alors je veux le courrier accusé réception et tout » pour finalement arriver à « je te ferrai suivre un chèque de 250 Euros pour la moitié du mois de Mars ».

Donc c’est parti pour bien se finir mais tant que ce n’est pas fait je m’attends à un coup tordu.

Je crois que c’est cette partie de mon début de soirée qui m’a le plus déçu, même si la somme est pas trop conséquente c’est ce genre de réaction et comportement qui montre comment les gens sont vraiment, pas de problème pendant 2 ans avec son locataire mais les gens n’en ont jamais assez, il faut toujours grappiller des babioles jusqu ‘au dernier moment....

Quand il s’agit de fric y’a plus d’affectif, y’a plus de relations de bon proprio à bon locataire, y’a plus de compréhension, c’est chacun pour ma gueule, c’est con à dire mais il faut des lois et des règles passeque il se trouve que sinon y’aurait pas moyen de se mettre d’accord..........

Même un vieux 0-0 hier soir entre Bolton et Marseille ça m’a fait du bien !!!

30 janvier 2006

Paris c’est bien, en abuser ça craint.

Y’a pas à dire, vivement que je parte d’ici. C’est vraiment rare, disons inhabituel que je souhaite partir à ce point d’un endroit. Je ne me souviens pas avoir eu autant envie de changer. Même en période post-rupture, même dans des temps d’ennui profond je ne rappelle pas une telle soif d’autre chose. Mais là, la coupe est pleine, je suis au point de non retour et d’un autre côté, le bout du tunnel n’est pas loin. Des fois on dit que ça passe vite, là non ! Bien entendu ça fait quasi 2 ans que je suis ici tout de même mais franchement le temps n’a pas filé à la vitesse de la lumière ! Ce qui serait assez inattendu j’en conviens.

Du coup, ces petites respirations parisiennes sont géniales. Bien sûr la compagnie y est pour beaucoup : Minicricri et Julie, toujours accueillante, mais en plus, il y a les gens, les spectacles, le choix de magasins, la bouffe. Bon tout ça ça a un prix évidemment ! C’est pour ça qu’il faut que je parte avec un gros chèque, que je plume ce gros b*t*rd, n’ayons pas peur des mots. J’espère que j’aurai le cran. Je me suis un peu repris tout de même : de statut de coupable qui voulait que ça se termine au plus vite et bâcler tout ça, je me rend compte que c’est lui le coupable, moi la victime, qu’il est pas question qu’une fois, pour finir, je le laisse me manipuler et baisse mon froc devant ce mec là (ça fait réplique de film, ça déchire !!!). Surtout lui. Y’a pas de raison que dans le travail j’ai attendu 2 ans qu’il me supporte d’une façon ou d’une autre et que ça ne soit jamais arrivé. Pire : j’ai espéré, après avoir été plusieurs fois déçu, qu’il m’apporte quelque chose, pour à chaque fois revenir dans mon bureau et claquer la porte en redisant qu’il ne servait à rien, que c’était peine perdue et que j’étais vraiment trop con d’en attendre quoi que ce soit. Alors c’est pas cette fois que ça risque de changer, quand il a encore moins de raison de finir en beauté, donc c’est le moment ou jamais d’ouvrir les yeux, et d’arrêter d’être candide, trop bon trop con et tout ce que vous voulez : là il s’agit de moi, j’ai aucune raison de lui faire une quelconque confiance. Merde !

Pour revenir à Paris ce week-end : un peu plus de choix qu’à Chartres pour trouver des chaussures, un chouette restau japonais dans le 1er (y’en a 15-20 rien que dans les 7-8 rues autour de chez Julie), ça fait 2 en 15 jours : Minicricri se lâche ! Elle qui soit disant ne goûtait pas grand-chose, elle s’y met, cool. Du ciné facilement : tiens au dernier moment le film qu’on va voir est en VO et ça te dis pas : OK on va dans celui d’en face, il est en VF. Bon sur ce coup là on a eu de la chance mais tout de même, ça paraît facile ! Soit dit en passant « Munich » c’est pas mal du tout : 2h40 certes, j’avais un peu de mal à garder les yeux ouverts par moments (après une grasse mat’, le repas du midi, sans compter qu’on était au chaud alors que dehors c’était la Sibérie) et ma connaissance du conflit Israélo-palestinien étant relativement vague, mais ça éclaire des choses. Peu importe que les vraies personnes qui ont fait ça disent que ce n’est pas exact. Ils ne peuvent sans doute pas se permettre de le dire, et de toutes façons, peu importe que ce soit exactement vrai, ça doit pas être bien loin de la vérité.

C’est bien là déjà.

J’y retourne (je suis trop consciencieux je crois).

19 janvier 2006

Où 2006 commence le 19 Janvier.

J’essaye de me relancer une nouvelle fois dans ce blog. Ma démotivation dans mon boulot, entraînant ma démotivation dans ma vie de tous les jours, dans cette démotivante ville de C……. dans le département de l’E… et L… pour ne pas la citer. Toutes les excuses sont bonnes pour justifier de ne pas faire quelque chose quand le moral n’est pas franchement au rendez-vous. La déprime me guettait mais aussi sûrement que j’avais le moral dans les chaussettes il y a quelques semaines encore, j’ai la gnaque maintenant. La raison à ce soudain changement d’état d’esprit : c’est bien simple, mon supérieur adoré a décidé qu’il était temps de se passer de mes (quelques) services. Et loin de m’enfoncer un peu plus dans la déprime, jusqu’à me faire dire que je vais toucher le fond, ceci a plutôt eu l’effet de me soulager : je vois maintenant le bout du tunnel.

Bon il faut dire qu’une autre raison pour coucher ceci par écrit vient du fait que Jean-Noël est particulièrement généreux en expressions poitevines ou pas, ces derniers temps. En vrac : Quand on n’est pas invité à la noce et qu’on y va, les chiens se battent. (Rapport à Mathieu qui se demandait si il serait de bon ton qu’il s’incruste dans une réunion)

On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif. (Rapport à notre chef qui veut nous faire faire des trucs en force)

C’est à la fin de la foire qu’on compte les bouses. (Rapport au fils de Jean Noël qui l’a appelé juste après le but de l’OM dans le match de la semaine passée contre Lyon)

Enfin, la lecture, hier, de 12 jours de blog téléramien (mon correcteur d’orthographe me souligne de rouge ce terme qui lui semble barbare alors je suis bien tenté d’essayer téléramesque, sans succès non plus) m’a donné envie. Même si dans ce cas il s'agit plus ou moins (plutôt moins que plus en fait) d'une chronique télé, le point central des messages est de façon plus qu'évidente les blogueurs eux-mêmes. Changeant toutes les quinzaines je pense, ils ont une courte période pour glisser 4-5 références qui leur tiennent à cœur, pour nous faire part de quelques réflexions de leur entourage, pour envoyer une private joke de temps en temps à leur famille qui a promis de lire leur papier journalier, pour enfin nous faire partager des détails à propos de leur quotidien (qu'ils prétendent moins varié qu'habituellement puisqu'ils doivent faire leur devoir de blogueur et rester le soir à regarder la télé alors que bien entendu en temps normal ce serait vernissage, conférence sur la disparition des traditions en Ossétie du Nord, cycle rétrospectif Wim Wenders à la cinémathèque, et tutti quanti !), et de leur décoration intérieure même qu'elle est trop bien. Arrg la jalousie, c'est pas bien. Je devrais plutôt me concentrer sur ce que moi j'ai à raconter.

En relisant ce qu’il y a ci-dessus (c’est là où je voulais en venir dans la précédent paragraphe : le blogueur est narcissique, il ne passe pas son temps à se regarder mais il se relit. Sans doute pas [encore] assez talentueux pour vivre de son écriture, il n’en demeure pas moins qu’il se relit et se doit de se plaire au moins à lui puisque n’étant pas assuré [dans la plupart des cas] d’avoir un quelconque public !) je vois que si toutes les excuses sont bonnes quand on n’a pas envie de faire quelques chose (On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif), toutes les excuses sont également bonnes pour faire quelque chose quand on en a envie. J’espère donc que mon envie durera et que, pour moi ou pour un éventuel parterre de lecteurs je continuerai sur ma lancée de ce début de Janvier 2006. Tiens j’en cherchait une, et ça ça ferait une bonne résolution : faire correctement et de façon poussée les choses qui tiennent à cœur et pas les abandonner pour des fausses raison ou bien à la moindre occasion de voir autre chose. C’est pas à proprement parler un quotidien professionnel très excitant, intellectuel ou gratifiant que je vis depuis un moment alors autant faire l’effort. Ca y est c’est fait, c’est décidé.

Ahhhhhh, je me sens mieux.

6 septembre 2005

faire ça ou peigner la girafe

=Faire un truc bien long et bien inutile.

Voilà le sentiment que j'ai sur mon travail  depuis un bon moment. C'est C. qui m'a fourni l'expression ce matin, elle convient parfaitement à la situation: faire un truc pour faire un truc; brasser de l'air; j’en connais un qu'est spécialiste et qui malheureusement commence à nous faire faire pareil…

Voilà, résolution de début Septembre : ça suffit de dire qu’il y en a marre, il faut agir, personne ne le fera pour oim. Alors d’ici la fin du mois j’aurais parlé à 1 contre 1 avec notre grand chef, j’aurais répondu à des offres qui m’intéressent, et d’ici la fin de l’année je me serais barré.

Pour détendre l’atmosphère, une expression de Jean Claude :

Si je t'emmerde, tu me le dis, en vérité, la vérité, il n'y a pas de vérité et je ne cherche pas ici à mettre un point ! Tu vas te dire: "J'aurais jamais cru que le karaté guy pouvait parler comme ça !", mais moi je suis plus que ça, je suis une movie star.

A plus

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30 août 2005

Tony’s in da house

Que dire ? Que dalle. Claude MC s’installe. Je peux pas croire que je débute ce message par des mots de MC Solaar. J’ai toujours bien aimé cette phrase, son rythme et comment elle sonne. Ça veut rien dire on est d’accord mais elle sonne bien. Ceci étant dit, l’info du jour (bon je sais j’ai plusieurs mois de retard mais pour moi 24 Season 4 a démarré il y a quelques jours seulement. J’ai débuté de les récupérer il y a un moment mais je voulais pas commencer avant d’avoir les 24 épisodes, par peur d’arriver sur un épisode que j’avais pas encore et que je doive attendre avant de pouvoir continuer, l’angoisse de la panne, du manque, de l’attente. Et en plus, attendre avant même de démarrer, ça fait monter la pression, et au moins ça casse pas le rythme de l’histoire. Déjà être obligé de le regarder en plusieurs jours ça coupe un peu. Mais bon à moins de souhaiter devenir épileptique, et de prendre un congé maladie, impossible de regarder 24 épisodes en 24 heures. Quoique à la réflexion, il faudrait tenter l’expérience ; je suis sûr que certains l’on déjà fait ; de démarrer la série, trouver vite fait à manger en 10 minutes de répit qu’on peut s’accorder entre chaque épisode, certain vont se coucher, vont prendre une douche, que sais-je, et reviennent reprendre l’histoire là où elle en est. Faut voir.) ; je reprends : l’info du jour c’est le retour de Tony, au niveau de l’épisode 9 je crois (j’en ai regardé 5 hier soir alors je m’y perds un peu…). Il monte doucement en puissance entre le 9 et le 13 et j’ai bien l’impression qu’il va tout casser avant la fin : on le voit flinguer 2 terroristes avant même de le voir à l’écran alors il peut pas en rester là. Je deviens psychopathe quand je me mets à regarder 24 (twenty four, en anglais s’il vous plait, là Jack prend toute son ampleur !!). A vrai dire j’attends l’équivalent d’un putain de moment de la saison 2 où Jack, juste avant que ne s’affichent les dernière secondes de l’épisode, tenu en joue par Nina qui lui dit un truc genre « So, Jack, this is over, that’s an ironic situation,…, what do you think, blablabla ? » ; lâche avec sa voix bien grave « This is not over yet ! », 10:59:57 , 10:59:58 , 10:59:59 , 11:00:00.

Allez Tony, casse tout!

3 août 2005

Ah le foot reprend!!!

Je m'interromps un instant en extase devant la Pub Vanish Oxi Max (Vanish et les taches s'évanouissent) avec Pierre Bellemare qui fait la voix off ...... Respect!

Que de nouvelles aujourd'hui: Zizou revient en équipe de France (enfin si le sélectionneur veut bien de lui). Et Makélélé aussi et peut être Thuram aussi, ça va péter.

Je m'interromps une nouvelle fois, je viens de voir la pub pour le disque du retour de Gala (Freed from Desire, souvenez vous) enfin, depuis le temps qu'on attendait ça.

Et enfin du foot à la télé pour la demi finale retour d'une coupe Intertoto (OM - Lazio Roma pour ceux que ça intéresse), bon bien sûr en consultant M6 a seulement les moyens de se payer Ferreri (je trouve même plus son prénom, ah si le mec qu'est au bord du terrain vient à mon aide, c'est Jean-Marc Ferreri) mais c'est déjà ça. Chartres est un peu moins chiant quand y'a du foot à la télé, maigre consolation.

2e mi-temps, j'y retourne.

1 août 2005

L'Ombre du Vent

"Barcelone, 1945. Emmené par son père dans le Cimetière des Livres Oubliés, Daniel est convié à adopter un livre et comprend aussitôt qu'il vient de changer le cours de sa vie... D'une inspiration peu commune et d'une grande maîtrise littéraire, ce roman d'apprentissage mélange les genres avec un rare brio."
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Voici le court descriptif trouvé sur le site de la FNAC, de ce livre. Je viens de le finir (hier) et ça coïncide en fait avec mon retour de Barcelone. J'ai beaucoup aimé. Raconté à la première personne, dans Barcelone, une espèce d'enquête mené par un adolescent qui veut en savoir plus sur l'auteur d'un livre (La Sombra del Viento) qu'il a lu en une nuit. Je l'ai lu en anglais parce que c'est comme ça qu'on me l'a prêté, mais depuis j'ai la version espagnole (mon cadeau de départ par mes collègues de Granollers), je vais m'y mettre maintenant que mon niveau d'espagnol déchire tout. C'est chouette, ça se passe dans Barcelone, OK Barcelone des années 30-40 mais y'a des noms de rues, de places, de batiments de la ville: on situe ce qui se passe, on marche avec les personnages le long de La Rambla, on monte en taxi vers Tibidabo, on se balade entre le port et la Barceloneta... Mais en plus de ça ce qui m'a fait le plus marrer c'est les expressions de Fermin Romero de Torres, il en fait trop, il sort des comparaisons venues de nulle part : "Calm down or you'll grow a stone in your liver"; "You really don't understand women, Daniel. I bet you my Christmas bonus that the little chickis in her house right now, looking languidly out of the window like the Lady of the Camellias, waiting for you tocome and rescue her from that idiot father of hers and drag her into an unstoppable spiral of lust and sin."; "You haven't done anything wrong. Life has enough torturers as it is, without you going around moonlighting as a Gran Inquisitor against yourself".

J'en citerais bien d'autre mais je peine à en trouver en cherchant au hasard dans le livre. J'imagine qu'en français également toutes ces parties de dialogue où Fermin Romero de Torres se lâche, valent le coup! Je suis pas un grand lecteur encore moins un grand critique mais ce genre de bouquin raconté àla première personne, qui soit à la fois dans un cadre réel et racontant une sorte d'aventure me plait beaucoup, pour tout dire ça me rappelle "The Beach" livre duquel a été tiré le film avec Leonardo et Virginie Ledoyen. Je suis pas le premier à le dire: le livre vaut bien plus le coup.

Bonne lecture.

30 juillet 2005

Des photos flash

http://www.sonar.es/2005/eng/s2005.cfm

ci-dessus, le lien vers le site du festival SONAR de Barcelone. Et, ça y est, les photos du 2e soir sont sur ce site dans un album photo. Pas besoin de détailler la liste des artistes qui étaient présents, on peut trouver ça sur le site du festival.

Par contre si quelqu'un lit ceci et par le plus grand des hasards, connait DJ Yoda. les commentaires sont les bienvenus. Je l'ai vu mixer de la musique, Le clip de Billie Jean et des extraits de films, trop fort: si vous savez ou trouver une video d'un de ces mix, dites le moi SVP.

@+

26 juillet 2005

Quelle originalité!!!!

Je resiste pas, je viens de trouver un autre blog avec un mec qui en gros et en résumé "Bravo Lance Amstrong".

Alors je lui ai fait par td emon sentiment quant à son commentaire, j'espere qu'il va s'ennerver un petit peu et pourquoi pas venir chier ici.

Allez vas y Elektroad, ennerve toi!!!

"on peut dire que tu te surpasses, vraiment je te tire mon chapeau. On a dû entendre cette même remarque "Bravo Lance" environ 400.000 fois et toujours par les mêmes plots.
Je dis pas que je change le monde avec certains de mes messages de blog mais franchement, tu sers a rien. Tu peux sans doute faire suivre ton fabuleux commentaire à l'interessé, avec un hommage pareil, sûr qu'il sera flatté.

J'en reviens pas : Bravo Lance et pis quoi encore? Merci Gerard Holtz pour ces merveilleux commentaires du journal du Tour?
Non mais ça va pas?"

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