J’en connais un qui va devoir s’enlever les doigts : et plus vite que ça!

Plus calme aujourd’hui, évidemment, reprise du boulot. Va pourtant falloir que je me sorte les doigts du cul passeque en matière de mou du gland, je me pose là, bien loin les résolutions d’attaquer plus vite que son ombre. La pauvre, au boulot elle se fait chambrer, ça la met mal à l’aise, va falloir que je lui donne un coup de main. Pour l’instant je fais vraiment le faible, le confort de celui qui comprend pas c’est appréciable. J’ai les mauvais côtés de pas comprendre grand-chose alors j’aurais tord de pas faire le mort quand c’est plus facile. Bref, je vais pas la faire à la Springum (qui se souvient encore des merveilleuses pubs Springum : Demain j’arrête) mais bon maintenant je sais comment dire « un bon plan » : « un chollo » alors faut y’aller.

Il est temps de se concentrer sur les sujets qui ont été à la source de ce blog, et parmi eux, la musique. J’écoute en ce moment l’album de Bebe, chanteuse espagnole dont j’avais en quelques lignes vu parler dans Epok. Il suffisait de demander, une chanteuse espagnole en vogue, évidemment quelqu’un au boulot a pu me le prêter, c’est comme si il y a quelques années un espagnol avait entendu parler de Louise Attaque et,… aucun intérêt cette comparaison alors arrêtons. Une voix acidulée, une balade en ce moment (Men Señará), de la pop rock sur le reste de l’album ; très agréable à écouter ma foi, je vous le recommande. Il paraît que les paroles valent également le coup (plutôt féministe mais gentiment) je vous en dirais plus quand ma maîtrise de la langue espagnole sera à la linguistique ibérique ce que les volées amorties de Patrick Rafter, en son temps, étaient au jeu d’attaque du tennis moderne, sur la terre battue de Rolland Garros comme (et surtout) sur le gazon de Wimbledon.